J’ai complété mon doctorat en science politique à l’Université d’Ottawa en 2006.  À l’intérieur de mon programme qui avait débuté en 1999, j’ai eu l’occasion de faire des séjours de recherche à Paris (l’Université Paris 1) et à Washington, D.C. (l’American University).  Ces séjours ont grandement contribué à enrichir mon parcours comme doctorant.  De plus, dès la troisième année du programme, j’ai pu enseigner quelques cours.  En plus de m’apporter une source de revenu, cette expérience m’a aidé à faire un choix de carrière.

Vers la fin de mon programme, j’ai pu obtenir un poste d’analyste au Gouvernement du Canada et j’ai jusqu’ici travaillé dans différents ministères.  J’aime beaucoup mon travail et ma formation universitaire continue de m’apporter beaucoup dans ce que je fait (par exemple, savoir bien synthétiser à l’écrit des informations complexes et être capable de présenter oralement une question qui nécessite une décision).

Si c’était à refaire, je souhaiterais un meilleur encadrement au moment du choix du sujet de thèse.  Par exemple, on pourrait inviter les étudiants à consulter un recueil des différents choix faits par les récents diplômés ou identifier des problématiques qui se prêteraient bien à une thèse de doctorat. Les départements pourraient aussi organiser des ateliers où les étudiants auraient l’occasion d’examiner des options de sujets de thèse (avec un appui des professeurs, des étudiants plus avancés dans le programme ou de récents diplômés).

J’ai complété mon doctorat en science politique à l’Université d’Ottawa en 2006.  À l’intérieur de mon programme qui avait débuté en 1999, j’ai eu l’occasion de faire des séjours de recherche à Paris (l’Université Paris 1) et à Washington, D.C. (l’American University).  Ces séjours ont grandement contribué à enrichir mon parcours comme doctorant.  De plus, dès la troisième année du programme, j’ai pu enseigner quelques cours.  En plus de m’apporter une source de revenu, cette expérience m’a aidé à faire un choix de carrière.

Vers la fin de mon programme, j’ai pu obtenir un poste d’analyste au Gouvernement du Canada et j’ai jusqu’ici travaillé dans différents ministères.  J’aime beaucoup mon travail et ma formation universitaire continue de m’apporter beaucoup dans ce que je fait (par exemple, savoir bien synthétiser à l’écrit des informations complexes et être capable de présenter oralement une question qui nécessite une décision).

Si c’était à refaire, je souhaiterais un meilleur encadrement au moment du choix du sujet de thèse.  Par exemple, on pourrait inviter les étudiants à consulter un recueil des différents choix faits par les récents diplômés ou identifier des problématiques qui se prêteraient bien à une thèse de doctorat. Les départements pourraient aussi organiser des ateliers où les étudiants auraient l’occasion d’examiner des options de sujets de thèse (avec un appui des professeurs, des étudiants plus avancés dans le programme ou de récents diplômés).