| October 12, 2016

Catherine Dubeau, professeure agrégée, département d’études françaises de l’Université de Waterloo

Catherine Dubeau, professeure agrégée, département d’études françaises de l’Université de Waterloo

BY: Propos recueillis par CATHERINE NYGREN

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J’ai commencé mon doctorat en études littéraires (Université Laval) à l’automne 2002. Ma thèse portait sur le rapport mère-fille et son lien à l’écriture chez Suzanne Necker et Germaine de Staël. J’ai eu la chance d’obtenir du financement des gouvernements fédéral et provincial (bourses CRSH et FQRSC), du département des littératures ainsi que de mon directeur de recherche, sous la forme d’assistanats de recherche. J’ai également eu le privilège d’enseigner trois cours. Ce soutien économique a été indispensable pour la poursuite de mes travaux et j’en suis infiniment reconnaissante.

Mon directeur de thèse m’a beaucoup encouragée pour la publication et la participation à mes premiers colloques. Je pouvais aussi compter sur l’aide ponctuelle d’autres professeurs ainsi que du directeur du département, parfois même du doyen lorsque j’avais des questions relatives à l’enseignement. J’ai toujours été très bien entourée, mais il était de ma responsabilité de demander de l’aide au besoin. Je n’étais pas systématiquement suivie et l’autonomie associée à ce type de travail me convenait parfaitement.

Très rapidement, je me suis impliquée dans le département des littératures ainsi qu’au sein de notre groupe de recherche en Ancien Régime, le CIERL (Cercle interuniversitaire d’étude sur la République des Lettres). Aujourd’hui, nos collaborations sont moins fréquentes pour des raisons d’emploi du temps et de distance géographique (je travaille dans une université ontarienne), pourtant les liens restent bien vivants et le CIERL, de même que l’Université Laval, resteront toujours chers à mon cœur.

J’ai eu la chance immense d’obtenir un poste de professeur menant à la permanence à l’Université de Waterloo avant même d’avoir soutenu ma thèse. Je devais soutenir en mai 2007 et l’embauche, conditionnelle à la réussite de ma soutenance, entrait en vigueur le 1er juillet 2007. Je ressens aujourd’hui un très fort sentiment d’appartenance envers le département d’études françaises de l’Université de Waterloo. Nous sommes une très bonne équipe de professeurs et chargés de cours et collaborons de manière formidable. Je le dis encore après 10 ans!

J’ai commencé mon doctorat en études littéraires (Université Laval) à l’automne 2002. Ma thèse portait sur le rapport mère-fille et son lien à l’écriture chez Suzanne Necker et Germaine de Staël. J’ai eu la chance d’obtenir du financement des gouvernements fédéral et provincial (bourses CRSH et FQRSC), du département des littératures ainsi que de mon directeur de recherche, sous la forme d’assistanats de recherche. J’ai également eu le privilège d’enseigner trois cours. Ce soutien économique a été indispensable pour la poursuite de mes travaux et j’en suis infiniment reconnaissante.

Mon directeur de thèse m’a beaucoup encouragée pour la publication et la participation à mes premiers colloques. Je pouvais aussi compter sur l’aide ponctuelle d’autres professeurs ainsi que du directeur du département, parfois même du doyen lorsque j’avais des questions relatives à l’enseignement. J’ai toujours été très bien entourée, mais il était de ma responsabilité de demander de l’aide au besoin. Je n’étais pas systématiquement suivie et l’autonomie associée à ce type de travail me convenait parfaitement.

Très rapidement, je me suis impliquée dans le département des littératures ainsi qu’au sein de notre groupe de recherche en Ancien Régime, le CIERL (Cercle interuniversitaire d’étude sur la République des Lettres). Aujourd’hui, nos collaborations sont moins fréquentes pour des raisons d’emploi du temps et de distance géographique (je travaille dans une université ontarienne), pourtant les liens restent bien vivants et le CIERL, de même que l’Université Laval, resteront toujours chers à mon cœur.

J’ai eu la chance immense d’obtenir un poste de professeur menant à la permanence à l’Université de Waterloo avant même d’avoir soutenu ma thèse. Je devais soutenir en mai 2007 et l’embauche, conditionnelle à la réussite de ma soutenance, entrait en vigueur le 1er juillet 2007. Je ressens aujourd’hui un très fort sentiment d’appartenance envers le département d’études françaises de l’Université de Waterloo. Nous sommes une très bonne équipe de professeurs et chargés de cours et collaborons de manière formidable. Je le dis encore après 10 ans!

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